Etre dans l’auto-entreprenariat est un état favorable pour le lancement d’une activité qui est alors beaucoup plus simplifié. En effet, loin de vous les encombrements structurels ou encore les lourdes paperasses administratives. Mais quand vous en venez à franchir un certain seuil de revenus maximum d’une auto-entreprise ou encore si vous venez à recruter du personnel, c’est le moment de choisir une forme juridique de société. Mais comment ça se passe ? Les réponses à vos questions.
Une nouvelle forme juridique d’ancien auto-entrepreneur
Parmi tant de choix, choisir la forme juridique adaptée à sa société n’est évidement pas chose aisée. Il faut juste savoir déterminer certaines caractéristiques :- La fiscalité : Il faut noter que quelques structures juridiques admettent l’imposition à l’IR, l’impôt sur le revenu, sur ses rétributions professionnelles, notamment sur la EIRL, EURL, et la SARL. D’un autre côté, d’autres structures conjecturent l’IS, l’impôt sur les sociétés, sur les recettes de la société, notamment sur la SASU, SAS et la SA.
- Couverture sociale : En fonction des formes juridiques, possibilité de choisir pour un régime social des indépendants, à savoir EIRL, EURL ou SARL, ou alors pour un régime social de salarié, à savoir la SASU, SAS ou SA.
- Responsabilité juridique et financière de l’entreprise: La majorité des structures juridiques sont à responsabilité limitée, notamment les EIRL, EURL, SARL, SASU, SAS et SA. Alors que pour le cas d’une EI, le dirigeant est inéluctablement responsable des potentiels arriérés de l’entreprise sur ses biens personnels.